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melanie
Châteaubriant, Pays de la Mée (Bretagne), France
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vendredi 20 novembre 2009

Il suffit de passer le Don,
C'est tout de suite l'aventure
Laisse-moi tenir ton jupon,
J' t'emmèn' visiter la nature !

(G.Brassens) Pour une photo dans la campagne de Moisdon
jeudi 19 novembre 2009

(...) dans ce royal décor,
Où sont souverains , la faune et la flore;
Les arbres se mirent au fond de l'eau
[Voyez]
La ronde de la libellule se posant sur la fleur du roseau;
En écoutant le clapotis de la cascade sur les rochers,
Et le gazouillis des oiseaux s'exerçant à chanter.

Que ce soit par un beau matin de printemps,
Ou bien dans la fraîcheur d'un soir d'été, au soleil couchant,
Ou mieux encore, dans la splendeur,
D'un paysage d'automne aux mille couleurs,
Ou bien même, malgré l'hiver, quand les arbres ont quitté leurs habits
Vous serez toujours émerveillés par notre beau pays.

(d'après un poème de Bernard Faucher)

(Merci Gisèle pour ces découvertes)
mercredi 18 novembre 2009

(Photo prise à Farinel, en Moisdon)


Dans le vent qui les tord, les érables se plaignent,
Et j'en sais un, là-bas, dont tous les rameaux saignent !

Il n'est qu'une blessure où, magnifiquement,
Le rayon qui pénètre allume un flamboiement !

(Poème d’Albert Lozeau)
mardi 17 novembre 2009

j'ai connu A. en début d'année 1967, elle était enceinte de son cinquième fils.
C'était une maîtresse femme sachant conjuguer sa vie de famille, sa vie d'agricultrice et ses engagements syndicaux et associatifs. Malgré l'immensité de ses tâches, elle était toujours accueillante, vive, disponible s'intéressant à tous et à tout.

La maladie hélas l'a frappée trop vite, diminuant ses capacités physiques, la contraignant à réduire son activité.
Ce n'est pas juste.
Et puis cet AVC brutal ...



Mon amie est partie un beau matin d'automne
Partie je ne sais quand.
Si les bords de l'étang me semblent monotone
J'irai jouer ... dedans.

(d'après Anne Sylvestre)
lundi 16 novembre 2009
Ils quittent un à un le pays
Pour s'en aller gagner leur vie
Loin de la terre où ils sont nés
Depuis longtemps ils en rêvaient
De la ville et de ses secrets
Du formica et du ciné

(Jean Ferrat)


Dans la cour, les pommiers à cidre sont toujours debout.
Les barriques, délaissées, en perdent leurs cercles.
Les bouteilles sont au rebut.


A la vôtre, amis !

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